Guérie de ses maladies de jeunesse, avec un processus de contrôle accru, l’usine de production de documents automatisée peut désormais se concentrer sur un secteur en pleine croissance: la production interactive.
Du business à la logistique
Le Service d’Encadrement ICT joue, dans cette optique, le rôle d’intermédiaire entre le business et Fedopress. Alors que le business définit les données et les priorités et que Fedopress se charge de l’aspect logistique, c’est bien une application informatique qui va créer le document. Ce document digital sera par ailleurs stocké virtuellement, et accessible dans MyMinfin pour le citoyen, l’entreprise ou le collaborateur. Si ce document doit être transmis, l’impression, la mise sous enveloppe et l’envoi à la poste sont alors pris en charge par Fedopress.
Des gains importants
La centralisation des envois, la réduction du papier, l’optimisation postale génèrent déjà des gains intéressants. Sur les sept ans du projet, les économies par rapport à l’ancienne plateforme («Dorothée») seront supérieures à 15 millions d’euros. Qualitativement, les progrès sont également importants: généralisation de la couleur, gain de temps, efficacité accrue, conditions de réalisation techniques du dossier unique.
Fedopress c’est également un regard tourné vers un futur plus écologique. La digitalisation et la conservation virtuelle des documents contribuent déjà à la diminution de la consommation de papier. La perspective d’une évolution des comportements laisse donc entrevoir un avenir encore plus vert.